Dans l'article l'auteur envisage deux attitudes face a la femme, presentes dans les aphorismes fransais et polonais des ecrivains, mais aussi dans ceux des scientifiques, des philosophes et des sociologues de I' epoque fin de siecle, toutes les deux se manifestant parfois chez Ie mcme auteur. Elles se resument en deux mots: gynecophobie et gynecolatrie. La question de I' etemelle feminite exprimee du point de vue du misogyne ou de l'adoratateur reste insoluble, tout comme l'objet mfme de cette reflexion, LA FEMME qui, tantot foncierement mechante tantot foncierement bonne, comme l' on disaient a l'epoque, resta insondable, fascinant les penseurs et les suscitant a exprimer soit leur mepris soit Ieur devotion.
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